mercredi 10 décembre 2014

Iced les chronique de Dani Mega O'Malley


Titre : Iced les chroniques de Dani Mega O’Malley

Auteur : Karen Marie Moning

Édition : J’ai lu

Date de parution : 5 novembre 2013

Nombre de pages : 604 pages

Prix : 21,95 $

Quatrième de couverture :

J’ai découvert un truc complétement dingue : mourir, c’est de la rigolade. Ce qui craint un max c’est de revenir à la vie…

Mon nom est Dani Mega O’Malley. Mon chez-moi, ce sont les rues de Dublin. La ville est une zone de guerre, les faës sont libres de nous chasser, il n’y a pas deux jours semblables et sans Mac, rien n’est plus pareil. Pourtant, je ne préférerais vivre nulle part ailleurs.

Mon avis :

J’ai bien apprécié cette lecture. Ce n’était pas la plus captivante de tous, mais elle m’a permis de passer un bon moment. Un des points faibles de ce roman est sa longueur. À 600 pages, ce roman peut facilement devenir lassant. C’est sans dire que les scènes s’enchaînent les unes après les autres, mais elles ne sont pas exploitées comme elles pourraient l’être. J’ai eu l’impression de sauté du coq à l’âne sans cesse.

Pour les personnages principaux, je les ai aimé, mais sans plus. Que ce soit pour Dani, Christian ou même Ryodan, tous manquent de profondeur. On sait qu’il cache quelque chose, mais dans les 600 pages de ce roman on n’apprend pratiquement rien sur eux. Nos connaissances restent superficielles tout le long de notre lecture. J’ai apprécié le petit côté rebelle de Dani, mais j’aurais apprécié apprendre à la connaître plus dans ce premier tome. De plus, j’aurais apprécié qu’elle soit un peu plus vieille. J’ai trouvé que sa maturité ne correspondait pas vraiment avec son âge. De plus, j’ai eu l’impression qu’à certain moment l’auteur a oublié que son héroïne avait seulement quatorze ans.
Cette série est une série en parallèle avec une autre, donc je crois que certains détails m’ont échappé et cela à quelque peu nuit à ma compréhension. Même si en général, la compréhension est facile il y a eu des moments où j’étais complètement perdu, surtout au début. Je crois que cela pourrait facilement décourager certains lecteurs d’ailleurs.

Cependant, dans ce roman il y a quelques petites prises de conscience que j’ai bien apprécié. Dani survit à la fin du monde et c’est dans des moments ou notre seule solution est de survivre qu’on se rend réellement compte de ce qui est important et ce qui ne l’ai pas. Dani mentionne par exemple à un moment que l’argent ne sert plus à rien depuis que la fin du monde à commencer. Que ces bouts de papier sont inutiles et dénudés de valeur.

Bref, j’ai apprécié ce roman malgré le manque de profondeur et la longueur. Pour les personnes ayant lu la série en parallèle, je crois que ce roman pourrait être une bonne lecture.

Ma note : 6.5/10

mardi 9 septembre 2014

IMM du mois d'août

Bonjour à vous,

aujourd'hui je vous présente mon IMM d'aout. Pour ceux qui ne le saurais pas un IMM (In my mailbox) est un article sur lequel je vous présente mes nouvelles acquisitions. Bien entendu, la fréquence dépend de soi (chaque semaine, chaque deux semaines, chaque mois, etc.) 

Bref, ce mois-ci je n'ai pas fait beaucoup d’acquisition. Je n'ai que deux nouveaux livres ! Et oui, je fais partie des rares lectrices ayant un contrôle sur ses achats ! ;) 

Voici donc les deux seules romans qui se sont ajoutés à ma bibliothèque.

Nos étoiles contraires de John Green que j'ai reçu comme cadeau de fête de la part de mon amoureux



Puis je me suis acheté Divergente de Veronica Roth à 18,95 $



Donc, voilà les deux seuls romans qui se sont ajoutés ce mois-ci !

mercredi 20 août 2014

les héritiers de Sorcha





Titre : Les héritiers de Sorcha : À l’aube du grand amour

Auteur : Nora Roberts

Édition : Flammarion

Date de parution : 20 mai 2014

Nombre de page : 443

Prix : 24,95$

Quatrième de couverture :

Iona Sheehan ne s’est jamais sentie à sa place en Amérique, aussi a-t-elle tout quitté pour venir en Irlande faire la connaissance de ses cousins Branna et Connor O’Dwyer. Tous trois sont les héritiers de Sorcha, une magicienne du Moyen Âge dotée d’un immense pouvoir. Iona a depuis toujours une connexion très particulière avec les chevaux et, à peine arrivée, elle se fait embaucher dans un centre équestre dirigé par Boyle McGrath, qui a le charme – et les manières revêches – d’un cow-boy et d’un boxeur… Tout pour séduire cette jeune femme qui n’a pas froid aux yeux. Mais les retrouvailles avec ses racines comportent des risques qu’elle n’a pas mesurés : dans le pays de légendes et de magie qu’est l’Irlande, il faut être un peu sorcière pour vaincre les mauvais augures et faire triompher l’amour.
Mon avis :

J’ai été immédiatement tenté par ce roman à cause de sa couverture. Et j’ai bien fait de le prendre, car j’ai vraiment apprécié ma lecture.

Tout d’abord, j’ai aimé le style d’écriture. C’était la première fois que je lisais un livre de Nora Roberts et je n’ai pas été déçue ! Elle est parvenue à m’amener en Irlande tout en restant dans le confort de mon lit. L’auteure manie les mots avec une telle facilité que la compréhension se fait toute seule ! Toutes les descriptions sont placées au bon endroit. Au fil de ma lecture, j’ai compris pourquoi Nora Roberts est une auteure autant appréciée.

J’ai trouvé les personnages attachants. Quoi que j’ai trouvé Iona un peu trop excentrique, mais rien de trop gros ! De plus, il n’y en a pas trop ce qui arrive souvent. Ils ont tous un rôle dans l’histoire et ne sont pas superflus. La relation entre Iona et Boyle est juste… wow ! Rien à redire là-dessus non plus. On voit l’amour grandir entre ces deux-là et l’évolution de leur relation, ça fait rêver ! De plus, je n’ai pas trouvé que les personnages étaient vides et superficiels ce qui est souvent le cas.

Lors de ma lecture, je ne m’attendais pas à ce que le côté magique soit aussi présent. Cela ne pas dérangé, mais je dois avouer que j’aurais aimé qu’il prenne un peu moins de place. D’ailleurs, je dois avouer que je n’ai pas aimé les premiers chapitres à cause de ça. Durant ces premiers chapitres, on apprend l’histoire de Sorcha, la sorcière dont sont les héritiers Iona et ses cousins, et la magie y était beaucoup trop présente. D’ailleurs, ça m’a pris un petit moment pour comprendre que c’était son point de vue. J’ai trouvé ces premiers chapitres un peu confus. Je n’ai, donc pas accroché immédiatement. Heureusement, tout est rentré dans l’ordre après ses chapitres.

Bref, j’ai vraiment apprécié ma lecture et j’ai eu une bonne première impression de cette auteure dont j’ai beaucoup entendu parler !


Ma note : 8,5/10

vendredi 15 août 2014

Traqué 2





Titre : Traqué 2

Auteur : Andrew Fukuda

Édition : Michel Lafon

Date de parution : 2 juin 2014

Nombre de pages : 366

Prix : 24,95$

Quatrième de couverture :

L’espèce humaine a été rayée de la carte il y a des générations de cela. Les crépusculaires sont les maîtres du monde. Et nous n’avons jamais réussi à le leur reprendre.

Pourchassés par leurs prédateurs, Gene et Sissy tentent coûte que coûte de rejoindre la Terre promise, un havre de paix où ils seront enfin en sécurité.

Suivant la piste laissée par le Scientifique, ils découvrent alors la Mission. Cette colonie de rescapés humains pourrait bien être l’Éden tant espéré. Accueillis en héros, ils vivent pour la première fois parmi les leurs. Mais les apparences sont trompeuses, et bien vite Gene se demande si ce nouveau monde n’est pas aussi maléfique que celui qu’il vient de fuir…

Mon avis :

J’attendais ce deuxième tome avec impatience, et c’est peu dire. Le premier tome m’avait tellement emballé que j’en attendais autant de ce deuxième tome. Malheureusement, j’ai été déçue.

J’ai trouvé que dans ce deuxième tome l’intrigue n’étais plus autant au rendez-vous. Il manquait un petit quelque chose. Il y avait beaucoup trop de longueur. Il y avait quelque mystère, mais on obtient des réponses à ceux-ci qu’à la fin. À un certain moment, cela rend l’histoire un peu lassante et elle tournait un peu en rond. L’histoire de ce deuxième tome était originale, mais l’idée était mal exploitée.

De plus, j’ai trouvé qu’il n’y avait que très peu de lien entre le premier et le deuxième tome. On aurait pu lire le deuxième sans avoir lu le premier et réussir à comprendre à peu près tout. À part les personnages principaux, ce ne sont pratiquement que de nouveaux personnages qu’on rencontre au fil de notre lecture. On doit donc apprendre à connaître à nouveau plein de personnages.

Par contre, j’ai aimé voir l’évolution de la relation entre Gene et Sissy. Alors qu’au début, Gene a de la difficulté a accepté la présence de Sissy, il finit par l’apprécier de plus en plus, pour finalement ne plus pouvoir s’en passer. Leur relation est mise à l’avant dans ce tome. D’ailleurs j’ai trouvé qu’un des points forts de ce deuxième tome a été l’évolution des personnages. Ils ne sont plus les même qu’ils étaient au début. Par contre, je n’ai pas trop aimé l’évolution du scientifique, car il n’y en a tout simplement pas ! À la fin de ma lecture, j’avais l’impression d’être encore au même stade qu’au début. À chaque chapitre, j’espérais en apprendre plus sur lui, mais c’était peine perdu.

Bref, je m’attendais à un deuxième tome digne du premier, donc j’ai été déçue. Il y avait trop de longueur à mon gout dans ce deuxième tome. Cependant, j’ai apprécié de voir évoluer les personnages. J’ai tout de même hâte de pouvoir me procurer la suite pour voir ce que me réserve le troisième tome !

Ma note : 7/10

dimanche 6 juillet 2014

le chaperon rouge


Titre : le Chaperon rouge
Auteur : Sarah Blakley-Cartwright
Édition : Michel Lafon
Date de parution : 11 avril 2011
Nombre de pages : 343
Prix : 24,95$
Quatrième de couverture :
Le village de Daggerhorn semble sommeiller au creux de la vallée. Depuis des générations, le Loup qui menace sa tranquillité est tenu à l’écart grâce à un sacrifice mensuel. Mais aujourd’hui, plus personne n’est à l’abri. Et la peur rôde…
À la mort de sa sœur, Valérie est inconsolable. Henry, le séduisant fils du forgeron, tente de gagner ses faveurs, mais le cœur indompté de la belle bat pour un autre garçon : Peter, le bucheron exclu du groupe, qui lui offre des escapades palpitantes en dehors du cocon familial.
Un beau jour, un chasseur de loup de passage dans la région fait une terrible révélation qui provoque la stupeur des villageois : la Bête qui les terrorise vit parmi eux. Chacun devient suspect. Bientôt, on comprend que seule Valérie peut entendre la voix du Loup. Et celui-ci exige qu’elle le rejoigne avant que le sang ne coule…
Mon avis :
JE DÉTESTE LA FIN DE CE LIVRE. JE DÉTESTE LA FIN DE CE LIVRE. JE DÉTESTE LA FIN DE CE LIVRE. Bon, on se comprend ?! C’est une fin vraiment merdique. Mais je n’en dirais pas plus à ce sujet !
J’ai eu vraiment du mal a accroché. J’ai trouvé la première partie, même un peu plus, vraiment ennuyante. Il ne se passait pas grand-chose et il y avait un peu trop de longueur. Pour ce qui est de la seconde moitié de ce roman, et bien, je n’ai pas pu le laisser de côté une seule seconde. C’était addictif ! Et je n’exagère en rien. L’intrigue était très présente ainsi que le suspense. S’arrêter à la fin d’un chapitre m’était tout simplement impossible puisque je mourrais d’envie de savoir ce qu’il allait se passer dans le chapitre suivant !
Les personnages sont, eux aussi, remplis de mystère. Je ne saurais dire si j’en sais réellement plus sur eux qu’au début de ma lecture. Cependant, je crois que c’était le but de l’auteure. Je suis persuadé qu’elle veut qu’on continue de se questionner à propos de l’ensemble de ce roman, et ce, même lorsqu’on a tourné la toute dernière page. Qu’on veule relire le roman pour trouver tous les petits détails qui nous ont échappé lors de la première lecture et percé le mystère qui plane sur cet ouvrage. Car, en effet, ce roman est un mystère à lui seul.
Dans la plupart des cas, les romans écrits à la troisième personne me tapent sur les nerfs, mais dans ce cas-ci, ça n’aurait ou être autrement. Ce roman est construit sous la forme d’un conte, surement pour rappeler l’œuvre original, et la troisième personne était, donc fait pour ce roman. J’ai été déstabilisé par cette narration seulement lors de la première phrase après cela allait de soi, contrairement aux autres romans avec ce type de narration où je dois attendre plusieurs pages pour m’y habituer. Et c’est sans oublier la magnifique mise en pages !
Si l’auteure n’a pas toutefois réussi à me conquérir dès le début, elle y est tout de même parvenue ! Et dès cet instant, j’étais pris entre ses griffes sans la moindre possibilité de m’en échapper.
Bref, je dois avouer que ce roman m’a marqué. Malgré des débuts difficiles, le méchant loup m’a finalement attrapé et prise au piège. Je conseille ce roman rempli de mystère à tout le monde, car selon moi, il vaut la peine d’être lu.
Ma note : 9,5/10

jeudi 3 juillet 2014

Insaisissable : Ne me touche pas


Titre : Insaisissable : Ne me touche pas
Auteur : Tahereh Mafi
Édition : Michel lafon
Date de parution : 8 octobre 2012
Nombre de pages : 384 pages
Prix : 24,95$
Quatrième de couverture :
JE SUIS MAUDITE
J'AI UN DON

JE SUIS UN MONSTRE
JE SUIS PLUS FORTE QU'UN HOMME

MON TOUCHER EST MORTEL
MON TOUCHER EST POUVOIR

JE VEUX QU'IL ME TOUCHE
IL NE DOIT PAS M'APPROCHER

JE SUIS LEUR ARME
JE ME VENGERAI

Mon avis :
Je voyais ce roman un peu partout depuis un moment et il n’avait pratiquement que de bonnes critiques. J’ai, donc voulu le lire et je ne le regrette pas une seule minute ! Ce roman fut un véritable coup de cœur.
Le personnage de Juliette m’a énormément touché. Les autres la rejettent puisqu’elle est différente, mais elle nous permet de découvrir ce que cela fait de vivre en exclu. Le fait qu’on puisse lire ce que Juliette dit et ce qu’elle pense vraiment m’a plu. Cela m’a permis de mieux la saisir. De plus, la relation qu’elle entretient avec Adam m’a fait rêver, comme Adam en fait ! Il l’aime depuis qu’ils sont jeunes et il est prêt à tout pour Juliette. Le fait qu’Adam soit capable de la toucher renforce le lien qui les unit.
J’ai beaucoup aimé le style de l’auteur. Très facile à comprendre et loin d’être monotone. Tahereh Mafi a réussi à me captiver dès les premières lignes. Chacune des pages est remplies d’émotions.  C’est tout juste si je pouvais interrompre ma lecture. De plus, il a réussi à trouver une idée originale et à l’exploiter à fond.
Bref, ce roman fut un véritable coup de cœur et je ne trouve rien à critiquer. Que ce soit les personnages, les lieux, le style d’écriture, etc. Ce livre m’a plu en entier et je le conseille vraiment !
Ma note 10/10

IMM de juin

Bonjour à vous,

aujourd'hui je vous présente mon IMM de juin. Pour ceux qui ne le saurais pas un IMM (In my mailbox) est un article sur lequel je vous présente mes nouvelles acquisitions. Bien entendu, la fréquence dépend de soi (chaque semaine, chaque deux semaines, chaque mois, etc.) 

Bref, je vais commencer tout de suite, puisque mon IMM de ce mois-ci est quand même assez long.

Aliss de Patrick Sénecal. Je l'ai payé 5$ et ma critique est ici
Le tome 8 et le tome 9 de la saga Sorcière de Cate Tiernan. J'ai payé 10 $ pour les deux tomes


La cité des ténèbres : la coupe mortelle de Cassandra Claire. J'ai payé ce premier tome 22,95 $ si je me souviens bien.

Le premier tome de la trilogie Insaisissable : Ne me touche pas de Tahereh Mafi que j'ai payé 10$

Je me suis procurée meilleures ennemies d'Alexa Yong pour seulement 2$. Ma critique est ici




Le deuxième tome de la série Traqué d'Andrew Fukuda. Je l'ai payé 18,70 $


Iced : les chroniques de Dani Mega O'Malley de Karen Marie Moning pour 8$

3096 jours de Natascha Kampush pour 2$. Ma critique est ici



Le chaperon rouge de Sarah Blakley-Cartwright pour 10$


Capturé de Kelly Armstrong pour 5$


À l'aube du grand amour de Nora Roberts pour 18,70$ 


Ames soeurs de rebecca maizel

Le deuxième tome de la saga Averia de Patice Cazeault

Ceci était, donc mon IMM du mois de Juin !

dimanche 29 juin 2014

Averia tome 2



Titre : Averia : Annika
Auteur : Patrice Cazeault
Éditeur : Éditions ADA
Date de parution : 26 juin 2012
Nombre de pages : 260
Prix : 17,95$
Quatrième de couverture :
Annika Aralia est une Tharisienne. Et elle les déteste tous. Les Humains, Les Amiraux, Le Conseil, les crétins de monarchistes…
Elle vit avec son oncle tyrannique, un dignitaire du régime qui se prend pour un monarque tout-puissant et son cousin qui, pour survivre, n’a rien trouvé de mieux que de s’enfoncer dans la drogue.
Incapable de trouver sa voie dans les rouages de la société tharisienne, Annika emprunte un chemin dangereux. Elle entraîne ses compagnons dans une entreprise folle. Un projet risqué.
Dans les ghettos de l’arrogante capital tharisienne, sa trajectoire croise celle de Valerio, un tharisiens qui prétend pouvoir l’aider à canaliser son énergie. Quelqu’un qui la force à porter un regard en elle. À affronter la haine qu’elle projette sur tous ceux qu’elle côtoie…
Une introspection qui pourrait bien avoir des répercutions dangereuses.
Mon avis :
Alors je dois tout d’abord dire que l’auteur a une très belle plume. Il a réussi une fois de plus, avec ce deuxième tome, à me transporter dans un univers tous a fait différent. L’histoire se passe sur une planète complètement différente de la nôtre et malgré tous, j’ai réussi à m’imaginer les lieux avec une grande facilitée. La compréhension de ce roman se fait sans la moindre difficulté.
Par contre, ce deuxième tome m’a quelque peu déçu. Tout d’abord, parce que je m’attendais à lire la suite du premier tome ce qui n’a pas vraiment été le cas. Certes, l’histoire se déroule un an après le premier tome, mais on ne retrouve pratiquement aucun personnage du premier tome. Seulement quelques personnages secondaires. Tout au long du roman, je m’attendais à voir apparaître Seki ou Myr, mais ce ne fut pas le cas, ce qui m’a quelque peu déplu. On doit apprendre à s’attacher à de tous nouveaux personnages dans ce deuxième tome ce qui peut être un peu difficile. Je n’ai d’ailleurs pas vraiment réussi à réaliser cet exploit. Le fait qu’Annika (qui est le personnage principal) soit Une tharisienne détestant les humains avec un caractère de cochon de m’a aidé en rien. Certes, vers la moitié du récit sa carapace commence à se fissurer, mais je ne pourrais dire que je m’y suis réellement attaché. De plus, selon les autres personnages Valerio et elle vivent un début d’histoire d’amour, mais personnellement je n’ai pas trouvé. Peut-être seulement un léger début d’amour entre ses deux personnages.
Pour ce qui est du roman en général, j’ai bien aimé le récit. L’histoire est originale et différente du premier ce qui rend la série plus intéressante. Par contre, j’ai trouvé que l’histoire a mis un peu de temps à se mettre en place.
Bref, un deuxième tome auquel je ne m’attendais pas, mais tout de même intéressant.

Ma note : 7/10


mardi 24 juin 2014

3096 jours



Titre : 3096 jours
Auteur : Natascha Kampusch
Éditeur : Livre de Poche
Date de parution : 6 juillet 2011
Nombre de page : 316
Prix : 12,95 $
Quatrième de couverture :
Natascha Kampusch a vécu le pire : le 2 mars 1998, à l’âge de dix ans, elle est enlevée sur le chemin de l’école. Pendant 3096 jours, huit ans et demi, son bourreau, Wolfgang Priklopli, la garde prisonnière dans une cave d’environ cinq mètre carrés, près de la Vienne.
En août 2006, elle parvient, par ses propres moyens, à s’enfuir. Priklopli se suicide le jour même.
Dans ce récit bouleversant, Natascha Kampusch révèle les circonstances de son enlèvement, le quotidien de sa captivité, sa terrible relation avec son ravisseur et la façon dont elle a réussi à survivre à cet enfer. Le témoignage unique d’une traversée de l’inimaginable par une jeune femme qui ne sait jamais laisser briser.
Mon avis :
Je ne sais pas quoi dire. Je reste sans mots. Les émotions que je ressens suite à cette lecture sont difficiles à expliquer. Savoir qu’une petite fille quelque part a vécu toutes ses atrocités et que d’autres le vive peut-être en ce moment même me chamboule. Ce récit m’aura permis de réfléchir à toutes sortes de choses. Mes premières pensées ont été : « Wow ! Comment aurais-je réagi en étant dans cette situation ?» Ensuite, j’ai pris conscience que ces choses pouvaient arriver à tout le monde et à tout moment et que nous ne sommes pas à l’abri. Je me suis questionné sur le travail des autorités et le système dans lequel nous vivons. Bref, ce roman m’a beaucoup fait réfléchir.
Certes, sur le plan technique ce n’est pas parfait, mais l’histoire est tellement émouvante que je ne m’en suis pratiquement pas préoccupé. À certains moments, j’ai trouvé cela un peu long puisqu’on en apprend surtout sur l’état psychologique de Natascha et très peu sur ce qu’il sait réellement passer. En même temps, puisqu’elle est restée enfermée pendant huit ans, une sorte de routine s’installe. De plus, à certains moments les retours en arrière et les moments au présent sont tellement entremêlés qu’on peut vite être dépassé.
En résumé, malgré une structure imparfaite ce récit reste un livre à lire. Il nous fait énormément réfléchir et nous permet de comprendre ce que les personnes kidnappées peuvent vivre au quotidien. Mon avis est plutôt court, mais mettre des mots sur cette lecture m’est presque impossible. II faut, selon moi, avoir lu ce livre pour le comprendre.
Ma note : 9/10


dimanche 22 juin 2014

meilleures ennemies



Titre : Meilleure ennemies


Auteur : Alexa Young

Éditeur : Michel lafon

Date de parution : 23 avril 2012

Nombre de page : 267

Prix : 9,95 $

Quatrième de couverture :

Avalon Greene et Halley Brandon sont deux amies inséparables depuis l’enfance. Hélas, Halley part étudier l’art loin d’Avalon le temps d’un été ; celle-ci, de son côté, se délasse sur les plages de Californie avec la chef des pom-pom girls tout en régnant d’une main de fer sur la mode.

À la rentrée, scandale ! Avalon s’insurge en voyant le nouveau style de sa meilleure amie. Et Halley, qui pensait partager ses souvenirs d’été avec sa confidente, doit prendre ses distances… Et si leur fabuleuse amitié était finalement passée de mode ?

Commence alors une guerre sans merci : garde partagée de leur chiot Pucci, répartition des copines, coups bas par blog interposés. Avalon et Halley vont découvrir ce qui arrive lorsqu’on se mesure à celle qui vous connaît le mieux… et qui ne craint pas d’utiliser vos secrets pour parvenir à ses fins.



Mon avis :

Alors tout d’abord, ce livre m’a fait passer un moment plutôt agréable. C’est le genre de lecture qui nous permet de ne penser à rien et de vivre un moment sympa avec les personnages. Ce n’est pas une lecture philosophique ni rien dans le genre, mais uniquement une lecture divertissante !

Par contre, j’ai trouvé que l’histoire donnait un peu trop dans les clichés. La fille populaire qui s’habille toujours super bien, avec la grande maison, les parents avocat, les bonnes notes, etc. Vous voyez le genre ? Dès la première page, on est submergé par les clichés. Pour ce qui est de l’originalité, j’ai trouvé qu’il en manquait beaucoup, principalement à cause de tous ces clichés.

Ensuite, un autre point qui m’a déplu a été les personnages. J’ai trouvé qu’Avalon et Halley étaient superficielles et sans histoire. Elles sont vides. On en apprend un peu plus sur elles au fil de l’histoire, mais à peine. En lisant la quatrième de couverture, je m’attendais à quelque chose de plus gros et beaucoup plus de coup bas provenant des deux camps. J’ai aussi eu l’impression que l’histoire tardait à débuter et que le début était un peu maladroit.

Cependant, j’ai bien aimé les articles qu’Avalon et Halley mettent en ligne sur le blog. J’ai toujours aimé les romans où la lecture est coupée par des articles ou des choses du genre. Je trouve que la lecture est plus légère de cette manière.

Bref, malgré tout cette lecture reste une lecture jeunesse, donc il ne faut pas s’attendre à un niveau digne des philosophes ! La lecture reste très sympa et nous permet de nous évader dans un autre petit monde. Une bonne lecture pour les préadolescentes et adolescentes ainsi que pour les plus vieux qui ont envie d’une lecture sans stress et sans avoir à chercher un double sens à tout !

Ma note : 7/10

samedi 21 juin 2014

Averia


Titre : Averia


Auteur : Patrice Cazeault

Éditeur : Éditions ADA

Date de parution : 23 février 2012

Prix : 4,95$

Quatrième de couverture :

Seki vit sur Averia, une colonie humaine qui a été conquise il y a 20 ans lors de la guerre avec les Tharisiens. Malgré cela, elle s’accommode bien de l’occupation. N’a-t-elle pas la chance d’étudier à l’université?

Sa soeur, Myr, ne partage pas son point de vue. Pour elle, la présence des Tharisiens sur Averia est une abomination. Le seul moyen de mettre fin aux injustices que subit le peuple humain est de se rebeller contre l’envahisseur.

Mais voilà que Seki, intimement convaincue que la reprise des hostilités serait une erreur, se voit entraînée malgré elle dans un groupe de résistants.

Les choses tournent mal. Une bombe explose.

La spirale de violence s’accélère.

Seki, qui doit assumer un rôle qu’elle n’a pas désiré, arrivera-t-elle à se sortir indemne de l’insurrection qui gronde dans la colonie d’Averia?

Mon avis :

Alors tout d’abord, je dois dire que j’aime beaucoup la page couverture. Je trouve qu’elle a été très bien réalisée et je n’ai absolument rien à redire à ce sujet !

Pour ce qui est du contenu de ce roman, je ne l’ai pas entièrement apprécié. Tout d’abord, le fait que l’histoire tourne uniquement autour de la révolte et de la guerre entre les humains et les Tharisiens m’a quelque peu déplu. En effet, il n’y a aucune histoire << à côté >>. La seule chose qui n’a pas un lien direct avec la guerre que se livrent les deux peuples est le passé de Seki et Myr, mais encore là, cela nous permet de comprendre pourquoi elles réagissent comme elles le font face aux évènements qu’elles subissent.

Les personnages de Seki et Myr sont très bien approfondis. On en apprend toujours un peu plus sur ces deux sœurs et ce tout au long de notre lecture et on les voit évoluées. Le fait que l’histoire soit racontée en alternant le point de vue, passant de Seki à Myr, nous aide à mieux les saisir. Si au début, on se demande pourquoi elles réagissent d’une telle façon on découvre très pourquoi. Le hic, c’est qu’à côté les autres personnages ont l’air vides, sans vie. On ne connaît pratiquement rien à propos d’eux. À la fin, on est à peu près au même stade qu’au début en ce qui les concerne.

Par contre, la lecture de ce livre ce fait très bien. Malgré le fait que l’univers de ce roman touche à la science-fiction avec ses nouvelles planètes, ses nouveaux lieux ainsi que ses nouveaux peuples, la compréhension se fait très bien. L’auteur parvient à nous raconter son histoire sans difficulté.

Bref, une histoire qui ne plaira pas forcément à tout le monde, mais qui reste tout de même agréable.

Ma note : 6,7/10

18 Lunes



Titre : 18 Lunes
Auteur : Kami Garcia et Margaret Stohl
Éditeur : Hachette Black Moon et Éditions Livre de Poche
Date de parution : 28 novembre 2013
Nombre de page : 571
Prix : 29,95$ et 12,95$
Quatrième de couverture :
Je pensais que rien ne me surprendrait plus. Jamais. Que Lena et moi avions connu le pire, survécu à l’impossible. Mais ces derniers temps, notre bonne vieille bourgade de Gatlin est en proie à une série de fléaux digne de l’Apocalypse. Il y a aussi ces cauchemars et ces visions étranges qui ne cessent de me hanter. Et toutes ces choses que j’oublie, ces moments où je ne me reconnais plus moi-même. La malédiction de la lune, les Enchanteurs des Ténèbres, La Garde Suprême : quelle est ma place, à moi, dans tout cela ?
Mon avis :
Dans ce troisième tome, la relation qui unit Ethan et Lena est plus forte que jamais. Après avoir vécu une séparation douloureuse qui a laissé beaucoup de cicatrices, ils font maintenant face aux événements ensemble en restant unis. Chaque fois que ces deux-là sont réunis on peut voir à quels points ils s’aiment, qu’ils ne veulent plus être séparé et à quel point ils sont prêts à tout pour éviter de répéter les mêmes erreurs. Ils tentent plutôt de guérir leurs cicatrices, mais bien vite ils sont confrontés à la réalité et doivent trouver un moyen de réparer les dégâts que la 17ieme lunes à causer.
De tome en tome, j’apprends à apprécier Lena. Elle fait de moins en moins de faux pas, donc je m’y attache un peu plus au fil de ma lecture. Ethan joue un grand rôle là-dedans d’ailleurs. Il me permet toujours d’en découvrir un peu plus à son sujet.
Cependant, je trouve que dans chacun des tomes, l’histoire se répète un peu. Il y a un fils conducteur qui est toujours le même dans chaque tome. En gros, Lena et Ethan ont des visions et doivent comprendre pourquoi ils ont ces visions et ce qu’elle signifie. J’ai l’impression que les auteurs ne font que reprendre changer quelques éléments dans les différents tomes et construisent un petit quelque chose autour de ça en ajoutant à quelque endroit un petit peu trop de longueur. Dans ce troisième tome, j’ai un peu eu l’impression que les auteurs écrivaient plus vraiment par passion de l’écriture, mais plus par obligation. Je trouve qu’il manque un peu d’originalité dans ce troisième tome, puisque j’ai une impression de déjà-vu.
La lecture reste tout de même agréable et plaisante et nous permet de nous évader pendant un certain moment, mais selon moi il y aurait quelque petit point à retravailler. La plume des auteurs reste cependant très agréable. La lecture se fait toujours aussi bien que les deux premiers tomes !
Ma note : 7/10

dimanche 15 juin 2014

Aliss


Titre : Aliss
Auteur : Patrick Senécal
Éditeur : Alire
Date de parution : 16 novembre 2000
Nombre de pages : 520
Prix : 15,95$
Quatrième de couverture :
Il était une fois...
... Alice, une jeune fille curieuse, délurée, fonceuse et intelligente de Brossard. À dix-huit ans, poussée par son besoin d'affirmation de soi, elle décide qu'il est temps de quitter le cégep et le cocon familial pour aller vivre sa vie là où tout est possible, c'est-à-dire dans la métropole.

À la suite d'une rencontre fortuite dans le métro, Alice aboutit dans un quartier dont elle n'a jamais entendu parler et où les gens sont extrêmement bizarres. Mais c'est normal, non ? Elle est à Montréal et dans toute grande ville qui se respecte, il y a plein d'excentriques, comme Charles ou Verrue, d'illuminés, comme Andromaque ou Chess, et d'êtres encore plus inquiétants, comme Bone et Chair...

Alice s'installe donc et mord à pleines dents dans la vie, prête à tout pour se tailler une place. Or, elle ne peut savoir que là où elle a élu domicile, l'expression être « prêt à tout » revêt un sens très particulier...

Mon Avis :
Je voulais lire ce livre depuis un bon moment déjà, alors lorsque je suis tombée dessus je n’ai pas hésité une seule seconde et je l’ai pris. J’avais déjà lu deux autres romans de cet auteur québécois, donc je savais déjà un peu à quoi m’attendre. En effet, Patrick Senécal est réputé pour avoir une plume plutôt glauque. C’en est à se demander où il va chercher toutes ses idées !
Pour en revenir à ce roman, eh bien il n’a pas fait exception à la règle. Il est rempli d’horreur digne de cet auteur. Cependant, de la façon que j’en avais entendue je m’attendais à pire, bien pire. Toutefois, tout ce que traverse Aliss reste impensable.
D’ailleurs pour ce qui est d’Aliss, je ne sais pas trop qu'en penser. Elle quitte Brossard (une ville québécoise) pour un quartier de Montréal (un peu l’équivalent de Paris, mais au Québec) où tout le monde est étrange et où tout semble en mauvais état. En changeant de ville, elle espère vivre quelque chose de nouveau, de différent, d’aller jusqu’au bout, mais sans réellement savoir quoi exactement. On est témoin de son évolution ou plutôt de sa descente aux enfers. On vit avec elle sa dépendance à la drogue, de ses nouvelles fréquentations. Cependant, malgré qu’elle ait traversé des problèmes que j’ai moi-même traverser je ne me suis pas identifié et attaché plus qu’il ne le faut à elle. J’ai plutôt eu l’impression d’observer la vie de quelqu’un d’autre à travers une fenêtre plutôt que de vivre des aventures avec elle.
De plus, à la fin de ma lecture, j’ai eu l’impression de ne pas tout avoir saisi. D’avoir loupé la partie plus philosophique. Toutefois comme chaque fois que j’ai lu un livre de cet auteur, j’ai adoré le style d’écriture. Patrick Senécal a un véritable talent pour nous transporté dans des endroits qu’on n’aurait jamais pu imaginer.
Bref, pour les personnes qui aiment tout ce qui est glauque ce roman est un excellent choix, comme tous les livres de cet auteur.

Ma note : 7/10

vendredi 13 juin 2014

La cité des ténébres : la coupe mortelle








Titre : La cité des ténèbres : La coupe mortelle.

Auteur : Cassandra Clare

Éditeur : Pocket jeunesse

Date de parution : juillet 2013

Nombre de pages : 571

Prix : 29,95 $

Quatrième de couverture :

Clary n'en croit pas ses yeux. Elle vient de voir le plus beau garçon de la soirée commettre un meurtre. ET, détail terrifiant : le corps de la victime a disparu d'un seul coup !
Mais le pire reste à venir... Sa mère a été kidnappée par d'étranges créatures et l'appartement complétement dévasté.
Sans le savoir, Clary a pénétré dans une guerre invisible entre d'antiques forces démoniaques et la société secrète des chasseurs d'ombres... Une guerre dans laquelle elle a un rôle fatal à jouer.

Mon avis :

Ce livre me tentait beaucoup depuis que j'avais vu l'adaptation cinématographique, j'ai donc finalement craqué et je me le suis procurée ! Malgré mes attentes plutôt élevées face à ce livre, je n'ai pas été déçu et j'ai passé un agréable moment. Par contre, je n'ai pas beaucoup apprécié qu'il y ait autant de différences entre le film et le livre, notamment la fin qui est différente dans le film et le livre.

À part ce petit détail, qui est plutôt insignifiant, j'ai vraiment adoré ma lecture. Si au début, le fait que la narration se fasse à la troisième personne m'a dérangé cela n'a pas été bien long pour que je l'oublie et que je plonge complètement dans l'histoire. À cause de cela, m'attacher aux personnages principaux a été un peu plus long et difficile puisqu'on n'est pas à 100% dans leurs têtes, mais j'y suis quand même arrivé rapidement. L'auteure a très bien réussi à tout mettre en place. Que ce soit l'environnement dans lequel les personnages évoluent ou bien les explications concernant le monde surnaturel. Cela rend la lecture et la compréhension très facile.

De plus, la relation entre Clary et Jace n'est pas clichée. Il ne tombe pas amoureux l'un de l'autre dès le premier regard comme dans plusieurs livres ! On se doute bien qu'ils ressentent quelque chose l'un pour l'autre, mais ils ne se l'avouent pas. D'ailleurs, Jace passe son temps à persécuter Clary.
Bref, j'ai beaucoup apprécié ce roman qui m'a fait passer un bon moment. Je le recommande aux lecteurs qui aiment le genre !

Ma note : 9/10

Avez-vous lu ce roman ?! Qu'en avez-vous pensez ?! Voulez-vous le lire ?! Dites-moi ce que vous en pensez !!